Aujourd’hui dimanche, c’est journée ballade en forêt ! Vous vous rappelez du park que j’avais tenté de visiter la semaine dernière, hé bien deuxième tentative; et là figurez vous que j’ai trouvé l’entrée, dingue hein ? :p
Direction donc le Mooloolah River Park qui est recouvert en partie par une forêt d’eucalyptus du plus bel effet. Durant mon cheminement dans le park, on passe d’une ambiance à l’autre : type forêt à l’européenne avec des pins et autres arbres assez classiques, des forêts plus dépaysantes à base d’eucalypsus + fougères, pas de forêt du tout avec de une sorte de brousse, des coins plus marécageux …
D’ailleurs, en parlant de marécage, spéciale dédicasse aux moustiques, vils insectes, qui ont profité de mon déficit en anti-moustique (que j’avais oublié… no comment), pour s’ouvrir un banquet improvisé. Je les retiens, la prochaine fois, foi de Jacques, il n’y aura pas de quartier ! En parlant de bestioles sympatiques, on peut aussi évoquer les multiples araignées qui m’ont eut dans leurs toiles, dans ces moments délicats, on ferme les yeux, on gonfle les joues et on recule à grandes enjambées… weird.ico no comment.
Et puis bon, y a aussi eut ce serpent, dont j’ai bravé le venin pour te ramener une photo fidèle lecteur; oui je sais je suis fantastique. Sans rire, cette rencontre a transformé ma balade, j’ai tout de suite eut le pas beaucoup plus lourd et tambourinant, m’attendant à voir débarquer ses copains au moindre bruissement de fougère hmm.ico . Gloups ! shower.ico
Le moment fort a été sans conteste celui où le chemin étant complètement inondé et impratiquable, j’ai du passer sur sa bordure, tout aussi marécageuse mais surmontée de joncs et autres végétaux me permettant de passer presqu’au sec. Je dis « presque » car à tout moment mon pied pouvait traverser et se retrouver à faire trempette au milieu des amies sangsues. Entre l’idée de glisser et me retrouver à l’eau et celle de me faire attaquer les pieds par des serpents sur lesquels j’aurai très bien pu marcher tellement je ne voyais rien, autant vous dire que la quinzaine de mètres me séparant de la terre sèche m’a semblé en faire cent. No comment.
Bon bref finalement j’en suis sorti indem, mes pieds vont bien merci; ils se sont remis de ces 2h de ballade sportive et intense et vous savez quoi ? ils en redemandent ! C’était le Rochelais Australien en reportage au Mooloolah River Park. yn.ico